Emeline Harari,
thérapeute psychocorporelle
et énergéticienne

Je m'appelle Emeline.

Née dans une famille de soignants, j’ai passé l’essentiel de ma vie à écouter, ressentir, accompagner.

La sensibilité — la mienne, celle des autres — a toujours été au cœur de mon cheminement. Un trésor, longtemps difficile à accueillir, devenu si précieux.

Aujourd'hui c'est la clarté de la Présence qui guide mes accompagnements. Simplement parce que cette Présence, cette Joie simple, est d'une incomparable beauté.

Pour la petite histoire...

J’ai 7 ou 8 ans.
Je suis à l’arrière de la voiture, avec ma mère. On rentre de l'école.
La campagne défile - ce paysage que je connais par cœur est monotone, presque hypnotique. Ma mère change de chemin, elle prend un raccourci et soudain, 2 petites questions a priori anodines me viennent à l'esprit :

“Ça veut dire quoi… MOI ? ”
“D’où viennent toutes ces pensées ? ”

Alors je cherche ce MOI mais je ne trouve rien. C'est le vide absolu.
Je ne me trouve pas. Je ne trouve pas un “quelqu’un”. Pas de forme, pas de nom, pas mot. Rien.

Un vertige me traverse avec la sensation d'un monde qui s'écroule.

Je n'en parle pas. D'ailleurs, de quoi véritablement parler au juste ? Cette prise de conscience n'a pas fait de grand fracas, elle est passée inaperçue.
Elle était si simple.

Je savais, pourtant j'ai douté

La Présence était là, dès l’enfance, c'était naturel.
Mais les mots, les injonctions pourtant bien intentionnées, ont en quelque sorte semé la confusion, posé un voile sur la clarté.

Ces mots, je les ai pris trop au sérieux.

“Il faut se centrer.”
La bonne élève en moi a cherché un centre. Échec cuisant, je ne l'ai jamais trouvé.

“Ouvre ton cœur.”

C'est qu’il doit y avoir une porte, quelque chose de fermé, un espace à ouvrir, des limites à dépasser.

"Ancre-toi"

Ok, je dois être éthérée, il faut que je me visse à la Terre ou quelque chose comme ça.

"Sors du corps"

Pourtant je ne suis pas à l'intérieur, comment faire ?

Ces phrases ont semé le doute sur ce qui était pour moi naturel : pas de moi, pas de centre, pas de limites, pas de corps, pas de souffrance.

Pourquoi ai-je donné de la véracité à ces pensées ?

Peut-être parce qu’il me fallait assumer inconditionnellement l'évidence : la vacuité, le silence, la liberté, la non-identification au corps, la joie simple, l'absolu.

Je ne sais pas.

Et puis peu importe.

L'enfant sensible

Petite, j’étais sensible à tant de choses : les sons, les lumières, les odeurs, les émotions.

Les mondes subtiles, ce que l'on appelle "l’invisible" m’étaient familiers.

Par la force des choses, toute jeune, je suis devenue passeuse d'âme.

Ce qui m'a poussée à explorer la peur, la mort, le deuil, les énergies subtiles, les différents plans de consciences, les entités, les rêves lucides, les vies antérieures, les "sorties" de corps... tant d'expériences passionnantes qui me permettent aujourd'hui d'accompagner avec simplicité et aisance les personnes traversant des passages difficiles.

En chemin...

J’ai traversé de nombreuses formations :
La Médecine Traditionnelle Chinoise, le yoga du Cachemire, la sophro-analyse, les soins égypto-esséniens, l’aromathérapie énergétique, l'harmonisation des lieux, la danse, le kung-fu…

Mais surtout, la Vie et ses chemins de traverses m’ont formée :
les passages ardus, les nombreux deuils, les douleurs physiques, les renoncements, les séparations, les changements de métier, les émerveillements, les rencontres essentielles, les gestes simples, la profondeur du silence, les éclats de rire.

Chaque étape a affiné l’écoute, éveillé le corps à la subtilité de la vibration, clarifié l'intuition, éclairé la vision, approfondi la JOIE.

C’est cela que je mets aujourd'hui au service de ton accompagnement.

Mon approche

Je suis thérapeute psychocorporelle et énergéticienne à Aix-en-Provence.
Mon approche mêle :

écoute sensible et guidance subtile
thérapie par le corps et la parole
soins énergétiques
médecine chinoise
phyto-aromathérapie
parfums thérapeutiques
et une vision enracinée dans la non-dualité

J'accompagne depuis la Présence, pas depuis le personnage.
Depuis cet espace simple, vivant, joyeux où tout est déjà là.